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Comme dans d’autres friches industrielles, la décrépitude s’est faite artiste et a transformé les machines, les vannes et les tubulures en véritables œuvres. Si dans la salle des chaudières, c’est la rouille monochrome qui domine, par contre, la nef des alternateurs nous offre son festival de couleurs tout en harmonie. Impossible de ne pas rester insensible à cette beauté d’un genre particulier, mais qui fascine à coup sûr le regard de tout photographe. |
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